vendredi 24 août 2012

La signification des visites dans le web analytics 2.0

Les visites certifient du fait qu'un internaute est venu sur votre site, qu'il y a passé un certain temps et qu'il en est parti. Techniquement cette interaction du visiteur s'appelle une « session ».
Les sessions sont plus communément appelées « visites » (et peut-être aujourd'hui « Visitors » (visiteurs) uniquement dans ClickTracks). Les sessions comprennent généralement en une série de requêtes émanant d'une personne qui se trouve sur votre site Web. Voici comme fonctionne l'ensemble.
1.    Si vous utilisez une solution de marquage JavaScript, lorsqu'un internaute sollicite une première page ou un premier élément de votre site Web, votre outil de Web Analytics lance une session pour cet internaute à partir de tel navigateur.
2.    Chaque requête supplémentaire émanant de l'internante est reliée à un identifiant (ID) de session unique.
3.    Lorsque l'internaute quitte votre site, cet ID de session unique sert à « coudre » les pages vues ensemble pour constituer un patchwork global.
4.    Lorsque vous générez un rapport pour une période donnée dans vos outils de Web Analy¬tics, l'élément de mesure visites totales correspond au « compte de toutes les sessions ayant eu lieu sur la période donnée ».
Dans la plupart des outils de Web Analytics modernes, une session, ou visite, se définit comme la durée écoulée entre la première et la dernière requête. Si l'internaute laisse le navigateur ouvert et s'absente, le système met fin à la session proactivement au bout de 29 minutes d'inactivité.
Pour conduire la nature technique d'une session dans votre outil de Web Analytics, consultez votre éditeur. En effet, celle-ci peut se cacher derrière de nombreuses étiquettes, telles que visites, visiteurs ou sessions.

Des choses à demander pour votre éditeur web analytics :


Groupement du contenu du site test
Testez la facilité avec laquelle vous êtes en mesure de grouper le contenu de votre site avec chaque outil, ainsi que les conséquences d'une modification de vos groupes de contenu prédéfinis. Par exemple, les groupes de contenu d'un journal comme Le Monde auraient être International, Politique, Société, Économie, Sports, etc. Quelle quantité de travail implique l'opération ? Est-il possible de revenir en arrière et de réparer l'historique ? (Disons en cas d'oubli, ou si vous souhaitez créer un groupe de contenu distinct dans vos données d'historique pour envisager d'autres hypothèses.)
Faire participer les stagiaires (ou les gros bonnets 1)
Assurez-vous que votre vivier d'utilisateurs comprend au moins quelques débutants complets ainsi que quelques experts en Web Analytics du type « monsieur Je-sais-tout ». Vous devez être certain qu'un panel varié de profils aura accès à l'outil. Les débutants (stagiaires ou cadres supérieurs) vous prouveront si votre outil est capable ou non de participer à une démocratie des données.
Tester la qualité de l'assistance
Lorsque vous êtes confronté à un premier problème ou lorsque vous ne parvenez pas à le résoudre, contrariez à la tentation de contacter votre responsable de compte chez l'éditeur. Efforcez-vous de trouver de l'aide au sein de l'outil, sur le site Web de l'éditeur, en utilisant l'assistance technique par courrier électronique ou sur des forums d'utilisateurs. Au cours d'un projet pilote ou d'une période d'essai, vous bénéficierez de niveaux d'assistance très supérieurs. Une fois l'achat effectué ou le contrat signé, en revanche, l'assistance prodiguée par certains éditeurs diminue quelque peu. Vous avez ainsi tout intérêt à tester la « réalité » de l’assistance, car par la suite, vous utiliserez l’aide de l'outil, les forums, l'assistance par courrier électronique ou encore le numéro de l'éditeur.
Rapprocher les chiffres
Comparez les chiffres obtenus à l'échelle des outils distincts impliqués dans le projet pilote, puis demandez aux éditeurs d'expliquer les divergences. Ça n'a pas vraiment de sens et ça rend fou (moi inclus). Toutefois, les réactions des éditeurs et la manière dont ils justifient les écarts sont des mines d'informations. Veillez à fournir aux éditeurs des données typiques correspondant à des créneaux horaires spécifiques (ils apprécieront vraiment cette attention), puis demandez une explication. En fin de compte, rappelez-vous que la qualité des données sur le Web n'est pas parfaite ; et ça, c'est vrai à 100%

jeudi 23 août 2012

Google+ Historique : une sorte de timeline Facebook

Les nouveautés sur Google+ se succèdent à un rythme assez remarqué, stimulé par la concurrence entre Google et Facebook. Préparez-vous à l’apparition de la fonction Historique sur Google+, pour gérer des moments-clés un peu comme sur votre journal Facebook.
Gestion de l'historique dans Google+
Réservé pour l'instant aux développeurs et programmeurs, la fonction Historique de Google+ permettra aux utilisateurs de partager avec leurs contacts viraux des moments précis de leur vie numérique. Ou même de ne pas les partager mais de les stocker dans une sorte de journal.
Certains événements liés à des services particuliers de Google ainsi que des moments-clés définis à l'aide d'une nouvelle API dédiée à l'historique de Google+ sont concernées. Voici des événements spécifiques, effectués avec des services de Google "pré-connectés", qui pourront si vous le souhaitez être sauvegardésdans votre historique Google+ :
  •    Voir une vidéo sur YouTube
  •    Publier une photo ou une vidéo à l'aide de la fonctionnalité Instant Upload sur votre mobile.
  •    Télécharger une application ou un film sur Google Play
  •    Attribuer un +1 à une page web
D'autres services seront prochainement compatibles avec Google+ History:
  •    Google Latitude
  •    la recherche
Vous pourrez bientôt enregistrer (et partager si vous le voulez) des "moments" de ce type :
  •    Publication d'un message dans un forum
  •    Réservation en ligne
  •    Dépôt d’une information ou d'un commentaire
  •    Achat en ligne
Vous avez l'impression d'être "tracé" par Google ? Quoi ?
Par défaut, votre historique est absolument privé, pas comme facebook. C'est à vous de configurer pour chaque source si vous souhaitez rendre publics les événements qui y sont rapportés. Vous pouvez également décider pour chaque moment si vous souhaitez le publier dans votre flux Google+ (et donc le partager). L'historique occupe une bonne place dans l'interface Google+, dans la barre latérale gauche répertoriant les grandes fonctionnalités.
Pour information, les données enregistrées par Google+ History sont toutes au format schema.org. D’ailleurs c'est la 1ère fois que Google autorise les développeurs à écrire des données dans Google+, jusqu'aujourd’hui les API n'étaient qu'en lecture seule.


Apple rejoint Google

Le cours de l’action Apple surpasse pour la première fois celui de l’action Google, depuis l’introduction en Bourse du géant de MountainView le 18 août 2004, le cours de l’action Apple (AAPL) n’a jamais atteint ni dépassé celui de l’action Google plus connu sous l’appellation (GOOG).
En clôture hier au Nasdaq, Google terminait la séance à 632,32$ contre 633,58$ pour Apple.
La capitalisation boursière des deux géants américains est désormais de 205,59 Milliards de $ pour Google contre 590,82 Milliards de $ pour Apple.
Depuis le décès de Steve Jobs, l’action d’Apple a progressé de plus de 40% (+255$) ce qui tend à prouver que la confiance des investisseurs reste saine.
Certes, AAPL n’a pas encore atteint la cotation record du GOOG (714$) mais le dominant financier de la firme de Cupertino pourrait bien être un réel avantage dans la bataille que se livre les 2 géants sur l’Internet Mobile au monde.

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